Jean-Dominique Poli et Jean-Guy Talamoni responsables du projet "Paoli-Napoléon", Paul Giacobbi Président du Conseil exécutif de Corse, Paul-Marie Romani Président de l'Université de Corse, Marie-Antoinette Maupertuis Directrice de l'UMR 6240 LISA et Bruno Garnier Directeur adjoint de l'UMR LISA, Michel Vergé-Franceschi Historien
Comme nous l’a expliqué Pierre-Marie Romani dans son allocution d’ouverture, ce séminaire était donc l’occasion de « réunir d’éminents spécialistes autour d’un sujet scientifique de grand intérêt pour tous ceux qui s’intéressent à notre histoire moderne »,. A l’instar de Paul Giacobbi, président du conseil exécutif de Corse, « Vous allez replacer la Corse dans un moment essentiel de l’histoire du monde » dit-il à propos des chercheurs s’étant penchés sur cet objet d’étude, au cours d’un discours alliant histoire, politique et économie. Dans l’histoire napoléonienne la Corse reste une sorte de matrice, moteur de ses convictions, et de ses pensées politiques.
Le séminaire est l ‘occasion de mettre à mal de nombreux préjugés sur Napoléon et de mettre en avant le poids de l’héritage paoliste à l’origine de son action républicaine.
Tout l'exercice était de montrer la filiation évidente entre Napoléon Bonaparte et Pascal Paoli.
« Redonner sa juste valeur à Paoli et montrer que ce sont les racines corses de Napoléon qui lui ont permis d'accomplir sa destinée. » témoigne de son intérêt pour ce projet Ugo Colombani, doctorant en Lettres Modernes.
Ce séminaire se poursuit ce vendredi 7 novembre, une nouvelle journée qui s’annonce riche en débats constructifs au cours de laquelle les intéressés d’histoire auront la chance d’entendre les interventions de différents chercheurs axées sur l’« imaginaire historique et imaginaire littéraire » dans une ambiance conviviale.
Le séminaire est l ‘occasion de mettre à mal de nombreux préjugés sur Napoléon et de mettre en avant le poids de l’héritage paoliste à l’origine de son action républicaine.
Tout l'exercice était de montrer la filiation évidente entre Napoléon Bonaparte et Pascal Paoli.
« Redonner sa juste valeur à Paoli et montrer que ce sont les racines corses de Napoléon qui lui ont permis d'accomplir sa destinée. » témoigne de son intérêt pour ce projet Ugo Colombani, doctorant en Lettres Modernes.
Ce séminaire se poursuit ce vendredi 7 novembre, une nouvelle journée qui s’annonce riche en débats constructifs au cours de laquelle les intéressés d’histoire auront la chance d’entendre les interventions de différents chercheurs axées sur l’« imaginaire historique et imaginaire littéraire » dans une ambiance conviviale.